vendredi 17 octobre 2008

Le retour au calme.

  Signe de la violence de l'événement, la mer garde son visage d'acier.

Omar, la suite.







  Quand même… Et dire que barricadés que nous étions dans notre maison, nous n'avons rien entendu!

Omar, premiers clichés.



  Voici l'état de "notre" petite plage de Corossol… La belle eau bleue piscine a fait place à un bouillon furieux.

Une ballade dans la grain.


jeudi 16 octobre 2008

Trois nouvelles avant l'arrivée d'Omar.


  L'orage gronde au loin et voilà le moment tant redouté: Toute la journée et depuis hier, les pêcheurs et autres marins ont retiré leurs bateaux de la mer… Un cyclone pointe le bout de son nez, et il n'a pas le profil habituel. Omar (ils tous de petits noms) s'est formé en mer des Caraïbes et remonte nord-est au lieu de faire comme ses camarades, une naissance en Afrique, une jeunesse trans-Atlantique et une maturité dans le golf du Mexique.
  Ce "cyclone pas comme les autres" devrait secouer Saint Barthelemy à partir de cette nuit. Dehors tout est pour le moment très silencieux puisque la seule chose à faire dans ces cas là est de se cloîtrer chez soi et d'attendre la fin de l'alerte…
  Quelles autres consignes? Des stocks d'eau en bouteille (l'île tire son eau de la désalinisation et lorsque la houle est trop forte, le pompage n'est plus possible donc… plus d'eau!), des bougies et autres lampes à pétrole (le réseau électrique aérien est souvent coupé dans des cas pareils…), des réserves de nourriture permettant une autonomie suffisante et un transistor à piles pour pouvoir suivre les informations sur le phénomène et son évolution. Nous avons tout ça, il n'y a plus qu'à attendre…

dimanche 12 octobre 2008